L'assurance décès garantit à votre famille ou autres bénéficiaires le paiement du capital pour faire face aux difficultés financières. Si le souscripteur vient à décéder durant la période de souscription, le capital sera versé selon les prescriptions du contrat. Ce type d'assurance n'est pas une épargne, elle prend uniquement en charge la transmission du capital pour un décès par maladie ou accident. Il est tout à fait possible d'en faire bénéficier un membre de sa famille, ami, concubin, ou une personne étrangère à la cellule familiale. Il n'y a pas de plafond, car selon la réglementation, les cotisations, versements sont libres et leurs montants n'ont de limites que celles prévues au moment de la souscription du contrat.
A la suite du décès de l'assuré, La capital est versé aux bénéficiaires et n’est pas soumis aux droits de succession, sauf exceptions. Il est cependant à noter que ce capital est soumis aux prélèvements fiscaux variables en fonction de l'âge auquel la souscription à commencée (avant ou après 70 ans). Le souscripteur peut demander à son assureur de bénéficier du retrait de son capital ou bien d'une partie, mais il s'avère plus avantageux de laisser le contrat durer au moins huit ans. Le souscripteur, s'il le désire peut choisir le prélèvement forfaitaire libératoire sur les plus-values qui s'élève à 35 % s'il se déroule avant la fin de la quatrième année de souscription, et de 15 % après jusqu'à la fin du contrat. La souscription de ce type de contrat offre l'avantage au client de demander une avance à son assureur, avance qui doit être remboursée.